BG EN ATTENTE DE VALIDATIONNom : Thingeir
Prénom : Alrick
Surnom : Didrik
Poids : 60 kilogrammes
Taille : 1mètre70
Sexe : Masculin
Age : 25
Date de naissance,
Lieu de naissance,
Description : Un homme simple
Signes particuliers : porte toujours une lance dans son dos, et se débrouille toujours pour être isolé
Traits de caractère marqués : Froid, trés peu aimable
Race : Humain
Métier : Chasseur
Lieu de vie actuel : Landraken
Classe Social : aucune (enfin il fait parti du "bas-peuple")
Classe du pj : Prêtre
Divinité : Hoar; domaine : Voyage et Guérison (si un domaine semble plus approprier que "Guérison" je suis preneur)
L'arme de prédilection utilisée : La lance
Je m’appelle Alrik, qui signifie « noble et puissant, riche de son héritage, de ses ancêtres ». Je suis né non pas par amour, mais par devoir de mes parents envers la lignée de notre famille. Nous sommes les derniers Thingeir ; mon père, ma mère, un vieux servant, et moi-même.
La femme que je me dois d’appeler « mère » est morte quelques temps après ma naissance. Nous habitions une vieille bâtisse. C’est le vieux servant qui m’a élevé. Il m’a appris à manier mon esprit. Il disait toujours qu’une bonne utilisation de l’esprit est plus importante qu’un bon maniement des armes. Il m’a enseigné aussi tous les dogmes de notre famille.
C’était une vie organisée. Je me levai tôt le matin et suivait son apprentissage tandis que mon père se tenait toujours le plus éloigné de moi. Mais il était désagréable avec moi et me rabaissait quand il en avait l’occasion.
Puis il a fini par mourir. C’est le vieux servant qui a creusé la tombe pour mon père et qui s’est recueilli dessus. Il savait à quel point je le haïssais, la haine que j’éprouvai à n’avoir été qu’un enfant créé dans le but de continuer à faire vivre la famille Thingeir. J’haïssais cette maison, ces habitants, ces blasons, ces armes… tout ce qui pouvait toucher de loin ou de prés à mes dits parents.
Le vieil homme savait que j’allais renier mon nom et mon origine. Alors il m’a dit que quitte à abandonner à mon nom, il m’en fallait un autre qui signifie ce que je suis. Il a fini par me dire : « Bon courage Didrik ».
Le vieil homme avait mis le feu à la maison des Thingeir. Alors j’ai du me débrouiller pour vivre.
Lentement, j’ai glissé sous la tutelle d’Hoar. Je n’y ai pas trouvé du réconfort, du bonheur ou de l’amour que je n’ai jamais eu. J’ai seulement trouvé une raison de vivre suffisante. Je n’ai pas bêtement laissé ce sentiment de haine et de vengeance venir en moi. Ce n’est pas ça être un justicier d’Hoar. La vengeance d’Hoar n’est pas un sentiment c’est un devoir qui doit être accompli si on ne veut pas être victime de plus d’agressions.
