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 - Alexis Halduin - [Perso Secondaire]

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~Syr~
Chevalier
~Syr~


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MessageSujet: - Alexis Halduin - [Perso Secondaire]   - Alexis Halduin - [Perso Secondaire] EmptyJeu 16 Aoû - 22:52

BG VALIDE

╔═════════════════╗
Alexis Halduin
╚═════════════════╝



- Alexis Halduin - [Perso Secondaire] 1129745861_fullres


Code:
Nom : Halduin
Prénom : Alexis
Surnom : ///
Poids : 74 Kg [Evolutif, suivant le régime alimentaire]
Taille : 1m82
Sexe : Homme
Age : 29 ans
Date de naissance : Le 16  Alturiak en 1343CV
Lieu de naissance : Aux alentours d'Aldebaran

Description : Quelques cicatrices zebrant ca et là son torse et ses bras, donc une cicatrice importante barrant son torse en deux parties , partant du haut de l'épaule droite au bas de la sangle abdominale, ses cheveux sont noir jais, refletant les rayons mourrant du soleil lors des fins de journées, jouant d'admirables reflets, ses mèches masque la plupart du temps son visage.
Son corps est assez fin malgré sa force, ses mouvement sont amples, gracieux et toujours reflechis, il ne fais rien sans en avoir la certitude
Cheveux: Très long, jusqu'au milieu du dos, un brun très foncé
Yeux: Bleu-profond
Signes particuliers : Comme tout ses ancêtres, une douce odeur de lotus noir émane de lui en permanence un relent qui eveille les sens mais aussi un parfum provocant et sensuelle.
Traits de caractère marqués : Têtu, Optimisme.

Race : Humain
Métier : Paladin
Lieu de vie actuel : Aldebaran
Classe Social : Fils d'un militaire haut gradé d'Aldebaran et d'une femme de rang moyen
Classe du pj : Paladin, Guerrier
Divinité : Torm
L'arme de prédilection utilisée : Epée Batarde

Révèle la vérité, punis le coupable, corrige l’erreur, et sois toujours droit et juste dans tes actions. Aide la loi partout où tu vas et punis ceux qui sont hors la loi. Garde une trace de ce que tu fais, de tes décisions, pour que tu puisses corriger tes erreurs, que ton amour de la loi dans tous les pays fleurisse et que ton abilitée à trouver les hors-la-loi augmente. Sois vigilant dans tes observations et anticipe les méfaits du chaos.
Ne trahis jamais tes promesses. Attends, et surveille attentivement. Protège le faible, le pauvre et le jeune et ne les sacrifient pas pour les autres ou pour toi-même. Anticipe les attaques et reste prêt. Connais tes ennemis.
Montre l’existence de la loyauté et de la pureté dans ton rôle de gardien et de protecteur.


Dernière édition par le Lun 26 Nov - 3:50, édité 4 fois
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MessageSujet: Re: - Alexis Halduin - [Perso Secondaire]   - Alexis Halduin - [Perso Secondaire] EmptyJeu 16 Aoû - 23:08

______________________________________________________________
~Background - Partie I & Fin ~


Alexis naquît très tard dans une nuit hivernale aux alentours d'Aldebaran, à l’Est des Arbres.
Son père Arthur demi-elfe devenu militaire de profession, était première classe dans le corps armé de la citadelle d'Aldebaran.
Sa mère Lynéale Halduin comme son père Elfan, n’aimant pas du tout la vie de la ville, préférait rester en bordure campagnarde et élever son fils d’une manière « saine » comme elle se plaisait à dire.
Artarus oscillait donc entre deux vies ; celle en ville et celle au sein de sa famille en campagne. Cet homme d’honneur était si fier d’avoir eu un fils qu’il n’avait de cesse de lui inculquer les valeurs nobles que tout homme digne de ce nom se doit de respecter dans sa vie non sans oublié de lui conter les récits héroiques de son grand-père Elfan. Passionné par son métier, il transmettait peu à peu son goût des armes et de la guerre à son fils qui, plus le temps passait, prenait une carrure en adéquation avec son éducation militaire, outre le fait qu’il travaillait extrêmement dur à la ferme en compagnie de l’ouvrier qui aidait.

Le père et le fils passaient énormément de temps ensemble dès qu’Artarus avait des permissions, tantôt joutant avec des lames, tantôt parlant de stratégies militaires et gardes de combat et des dieux justes, comme Tyr, Heaume et Torm. Cela devenait une obsession, et Lynéale ne le supportait pas, malgré cela elle ne pouvait aller à l’encontre de l’autorité patriarcale et donc des activités de son fils, avec son géniteur.
Alexis était vif d’esprit et apprenait vite, si vite qu’il surpassait aisément son père à l’âge de vingt ans. Le jeune homme connaissait de nombreuses passes d’arme, et savait parfaitement utiliser sa tête lors d’un combat, jaugeant son adversaire avant de se lancer tête baissée. Il lisait avec passion des ouvrages militaires traitant de stratégies diverses et de déroulement de grandes batailles, tout ce qu’il pouvait trouver il l’achetait à la sueur de son front, ne demandant jamais un seul gramme d’or à son père et ce, malgré son travail colossal à la ferme familiale.

Le temps passait et la vingt-cinquième année d’Alexis pointait son nez à l’horizon, le jeune homme entrant dans le début de la force de l’âge avait soif de parcourir les terres, de faire ses preuves face à lui-même et se forger face aux divers dangers existant sur ces terres.
Chose qu’il entreprît très rapidement, il fît ses adieu à ses parents, après leur avoir longuement parlé de ce qu’il souhaitait, sa mère les larmes aux yeux, son père fier comme pas deux.

Au fil des routes, Alexis dû user de sa lame à maintes reprises face à de nombreuses créatures et être hostiles. Il rencontra beaucoup de combattants qui comme lui cherchaient l’aventure par delà les campagnes, beaucoup trouvant la mort rapidement.
Les réalités de la vie firent peu à peu irruption dans l’esprit du jeune homme qui, après avoir parcouru tel un nomade les terres du continent, devînt un homme. Un homme mûr, ayant su faire bon usage des enseignements de son père, et apprendre à les développer face aux vérités du monde environnant. Un homme d’honneur, qui ne failli jamais à sa parole, quoi qu’il en coûte. Un guerrier impitoyable face à ses adversaires, ayant perfectionné un savoir militaire puisé d’ouvrages plus ou moins anciens et des leçons de son père.

Il fit halte a de nombreuses reprises durant ses années de voyages autour du monde qu'est Faêrun, voila un des récits d'un des nombreux lieux ou il s'est arreté.

La nuit était déjà tombée depuis un temps. Une tempête violente faisait rage, le vent soufflait fort et une pluie glaciale tombait sans jamais s’arrêter. Les vagues allaient s’écraser sur les récifs avec une force incroyable et parfois elles arrivaient jusqu’à la petite maison construite au bord de la falaise. Les dieux avaient du être fort contrariés pour ainsi être en colère.
A l’intérieur de la maison, une fille adolescente et un jeune garçon étaient attablés et essayaient tant bien que mal de manger ce que leur mère avait préparé. Ils avaient peur qu’il arrivât quelque chose à cause de la tempête bien que leur père eût tout fait pour que rien ne se passât jamais en ce temps désagréable. Après le repas, comme personne n’arrivait à fermer l’œil, il se mit à raconter des histoires de leur famille et des histoires extraordinaires avec des dragons, de puissants sorciers ou encore des héros sans peur. On écoutait attentivement et seul le vent perturbait le cours des récits en soufflant de temps en temps une bougie.

La nuit avançait lentement dans la tempête qui ne cessait pas depuis des heures. Les histoires se suivaient les unes après les autres jusqu’à ce quelqu’un vînt frapper à la porte. Qui pouvait venir à cette heure et par ce temps abominable ? Le père dit :
« Allez les enfants, il faut aller se coucher, il est bien tard. La suite, ce sera pour plus tard. »
Les enfants s’exécutèrent, suivis par leur mère. Encore une fois on entendit frapper, le père se dépêcha pour ouvrir. C’était un jeune homme, plutôt mince avec des habits complètement mouillés qui se présenta devant lui. Le père le fit entrer, le débarrassa de sa veste puis lui présenta une chaise avec un reste de repas. Il avait l’air d’un étranger, sur le moment il semblait un peu sous le choc et remerciait sans arrêt. Le père lui demanda gentiment ce qui l’avait emmené ici et pourquoi il était sorti par un temps pareil. L’étranger répondit, plus à son aise, plus calme et demanda enfin l’hospitalité pour quelques jours. La famille ne la lui refusa pas, déjà car le temps ne permettait pas le refus et que de toute façon, il n’y avait rien à reprocher à cet homme reconnaissant. Le père lui montra alors un lit inoccupé et tous essayèrent de fermer les yeux malgré le vacarme extérieur.

La nuit laissa sa place au jour et la tempête s’estompa. Le père avec sa femme se leva puis marcha vers la chambre de l’invité. Il n’était plus dans son lit qui était d’ailleurs fait. Ses affaires traînaient cependant encore tout autour. Par la fenêtre on pouvait le voir marcher en bas sur la plage, regardant les beautés de Nature. La famille se réunit à nouveau autour de la table, pour manger un petit quelque chose. Cela fait, chacun alla faire la tâche pour laquelle il avait été désigné.
Le temps passa et le soleil montrait qu’il était à nouveau l’heure de manger. L’étranger toujours sur la plage fut rejoint par la fille qui voulait l’avertir. Le sable était encore humide et çà et là il y avait des débris de bois apportés par l’océan. L’étranger était assis sur un rocher et regardait l’horizon. Il détourna son regard au son des pas, et sourit à la vue de cette jeune femme qui était semble-t-il pleine de charmes :
« Venez Monsieur, nous allons passer à table, je suppose que vous devez avoir faim maintenant. »
La voix était calme et mélodieuse. L’étranger acquiesça et sauta vers elle. Il se présenta et elle fit de même. Sur le court chemin menant à la maison, ils discutèrent encore et firent connaissance. Le repas était bon et l’étranger ne se gênait pas pour le rappeler régulièrement tout en jetant quelques regards discrets à la jeune adolescente dont les traits l’avaient comme ensorcelé. Après le repas, ils se revirent encore un peu jusqu’au crépuscule et encore un peu la nuit. Elle lui parlait avec douceur et il la contemplait comme si elle était d’essence divine.

Le lendemain matin, encore une fois l’étranger était sorti avant que toute la famille se levât. Il était à nouveau sur la plage en train de marcher. Cette fois-ci le lit n’était pas fait et les affaires étaient éparpillées un peu partout dans la petite chambre. La mère alla donc, après avoir pris son petit-déjeuner, ranger un peu tout cela et faire le lit. Ainsi les draps trouvèrent la position parfaite, les vêtements furent mis à laver s’ils étaient sales et elle prit le sac pour le mettre dans un coin. Quand elle posa le sac, un médaillon sortit d’une des poches et attira la curiosité de la mère. Qu’était-ce donc que cela ? Elle croyait l’avoir déjà vu, mais où ? Elle appela son mari qui vint et inspecta à son tour l’étranger collier. Pour lui aussi, le médaillon n’était pas inconnu mais lui non plus ne se souvenait pas d’où il le connaissait. Ils le remirent donc dans la poche et retournèrent à leurs tâches respectives.
Le jour se passa pareillement que le précédent jusqu’au soir où le père se souvint tout à coup ce que représentait l’image du médaillon, les brigands de la région…

La nuit passait et le père réfléchissait. Il n’allait tout de même pas mettre l’étranger à la porte. Il n’avait rien fait, n’avait pas fait quelque chose qui prouvait seulement sa culpabilité. Peut-être avait-il seulement ramassé le médaillon quelque part où avait eu lieu une altercation entre les brigands et la Garde ? Il fallait lui laisser une chance et attendre. De toute façon, il partira de lui-même dans peu de temps.

Plusieurs jours s’écoulèrent et le lien entre l’étranger et l’adolescente se renforça. Ils s’aimaient. Ils discutaient de tout et de rien, le plus discrètement possible pour ne pas éveiller quelque soupçon de la part du reste de la famille. Chaque matin il allait sur la plage et quand le soleil était au zénith elle le rejoignait joyeusement pour lui dire que la famille passait à table. Et ainsi de suite…
Le père n’était pas entièrement dupe et surveillait sa fille. Il ne lui avait rien dit à propos du médaillon et il valait mieux qu’elle n’en sache rien. Il voulait la protéger au cas où ses soupçons seraient réels.

Jusque là, la relation entre les deux jeunes amoureux n’était basée que sur la parole, mais il fallut un jour où l’étranger voulu embrasser son aimée, preuve de ses sentiments. Le père à la fenêtre vit cela et n’accepta pas qu’on touche à sa fille sans son accord. Il laissa encore un jour s’écouler puis il alla voir l’étranger assis sur son rocher en train d’observer la beauté infinie du grand océan. Une discussion assez violente s’en suivit, les explications de l’étranger ne satisfaisaient pas le père. Pourtant il ne semblait pas mentir et son amour semblait pur. Le père n’entendit rien :
« Toi le bandit, n’ose plus t’approcher de ma fille ou bien seulement l’aimer ! »
Et pour ne pas faire trop de mal à sa fille, il lui conseilla de partir le lendemain matin quand elle dormira encore. L’étranger ne pouvait rien faire contre, il n’avait pas le choix, il fallait qu’il parte. L’idée d’enlever celle qu’il aimait lui vint à l’esprit, mais il l’abandonna vite car il savait que le père veillerait à ce qu’il ne fasse rien à part partir.

L’étranger dormit que peu et bien mal. Le père, lui, ne voulait pas dormir, il attendait que son invité exécute son ordre. Avant l’aube, le sac était prêt, c’était la fin de son aventure dans cette maison. La porte se referma doucement. Le père alla vérifier qu’il était bien parti. Sur la table de la petite cuisine était posée une lettre. Quand la fille se leva, le père la lui tendit :
« Il est temps que je parte… »
Elle mit sa tête entre ses mains. Elle pleurait. Elle pleurait un homme qu’elle avait aimé, sûrement le premier. Son père essaya de la consoler, en vain. Il était trop tôt.

La famille n’entendit plus jamais parler de leur invité. Personne ici n’a jamais su qui il était vraiment et ce qui l’avait emmené jusqu’à eux. La matinée était douce, le vent léger et la mer calme


A l’âge de 29 ans, Alexis entreprît de retourner à la civilisation afin de jouer un rôle, quel qu’il soit, dans cette capitale magnifique qu’est Aldebaran.
Pour le plus grand bonheur de ses parents, il était bel et bien en vie. A leur plus grande surprise, il n’était plus le même.
Les choses avaient changées, Artarus retraité de l’armée travaillait à présent à la ferme, et Lynéale très affaiblie, était prise d’une maladie la rendant très faible.
Mais le fils était de retour, de nouveaux horizons étaient à venir…
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